mobanmarketLes célibataires européens attendent-ils tous l’amour de la même manière ? Sont-ils en quête du même idéal ? Vivent-ils avec difficulté ou avec bonheur leur condition ? Pour le savoir, le site de rencontres PARSHIP.fr dévoile les résultats de son étude sur la personnalité des européens. Les résultats vont apparaître des particularités et des attentes spécifiques à certains pays.
– France :
En France, le couple reste un idéal à atteindre, y compris pour les hommes. Seulement 35 % des hommes célibataires déclarent supporter leur célibat alors qu’ils sont 62 % en Hollande ! Pour 32 % de ces hommes, la tradition tient une place importante dans le couple. Ils sont aussi sérieux (ou s’affichent comme tels), car seulement 12 % des célibataires français sont à la recherche de flirts uniquement. Les Françaises savent ce qu’elles veulent : 59 % d’entre elles sont à la recherche d’un “Apollon“ et 85 % n’apprécient pas les Monsieur Je-sais-tout.
– Grande-Bretagne :
En Grande-Bretagne, les hommes célibataires ne sont guère optimistes. Près d’un tiers (31 %) d’entre eux ne pensent pas être assez séduisants pour trouver une partenaire et estiment que leurs chances d’en trouver une dans les 2 ans sont quasi-nulles. Pourtant, les célibataires anglaises sont moins exigeantes que les Françaises : seulement 17 % d’entres elles attachent de l’importance à l’apparence physique.
– Allemagne :
Les célibataires allemands ont des idées très arrêtées sur leur idéal : la femme doit être plus jeune qu’eux de 6 ans en moyenne et pour 63 % d’entre eux elle doit correspondre à des critères physiques définis. Les célibataires allemandes sont sensibles au comportement éthique (97 %) et à l’honnêteté (94 %) des hommes. Mais elles préfèrent globalement se consacrer à leur travail plutôt qu’à la recherche d’un partenaire.
– Italie :
Click Here: Cheap Golf Golf ClubsEn Italie, 29 % des hommes célibataires ne ratent pas la moindre occasion de rencontrer des femmes. Ils recherchent plutôt des flirts. Pour seulement 60 % des Italiennes, la communication au sein du couple est importante ! Par contre, elles sont plus exigeantes en ce qui concerne l’apparence physique de leur futur conjoint.
– Pays-Bas :
Les célibataires néerlandais voient la vie avec beaucoup d’optimisme. Mais cette qualité va avec un défaut qu’on a coutume à attribuer aux Ecossais. En dernière place du classement européen, les néerlandais dépensent seulement 36 lors d’un rendez-vous galant. Du côté des Néerlandaises, 56 % des célibataires jugent qu’être un bon amant n’est pas une condition essentielle pour leur partenaire potentiel. Elles se satisfont globalement très bien de leur vie de célibataires.
– Autriche :
Les célibataires autrichiens sont les plus carriéristes (56 % accordent une très grande importance à l’avancement de leur parcours professionnel). Ils sont aussi très attentifs au physique des femmes, qu’ils préfèrent athlétiques ! De leur côté, 92 % des femmes autrichiennes ne souhaitent pas subvenir aux besoins de leur partenaire.
– Suisse :
Côté Suisse, les traditions ont la vie dure… Les célibataires suisses sont 35 % à penser que, dans un couple avec enfants, l’un des membres du couple (de préférence la femme) doit rester à la maison. Pour rencontrer l’âme soeur, 49 % d’entre eux se rendent sur des sites de rencontres par affinités tels que PARSHIP. 86 % des femmes célibataires suisses n’ont que faire de l’égalité au sein du couple, mais elles souhaitent avant tout que leur nouveau partenaire soit optimiste.
– Espagne :
Les célibataires espagnols ne jurent que par la sensualité des femmes de leur pays (50 % d’entre eux sont à la recherche d’une femme espagnole) et par la séduction des papilles, car leur temps libre est consacré à la préparation de bons plats. Indépendantes, les femmes espagnoles aiment avoir le contrôle et 36 % d’entre elles ne recherchent pas la félicité conjugale. Que pensez-vous des résultats de cette enquête en ligne ? Ne vous apparaît-elle pas comme très proches des stéréotypes en vigueur ? Venez vous exprimer sur nos forums. Luc BlanchotSource : Communiqué de Parship du 17 novembre 2010