Elles se disent copines, mais restent néanmoins rivales. Alors que Kim Kardashian s’offre une petite diète médiatique, Jennifer Lopez, première reine callipyge du showbiz, remet ses arrières en avant sur son compte Instagram. Chaud show!
La nature a horreur du vide. Signée par l’ex-p-dg de Sony Music Tommy Mottola pour rivaliser avec Mariah Carey, à l’aube des années 2000, Jennifer Lopez l’a bien compris. Première star de la chanson à assumer ses formes callypiges, mais bientôt ringardisée par Kim Kardashian et ses sœurs pétard, J-Lo profite de la retraite médiatique de sa rivale, encore traumatisée par son braquage parisien, pour sortir de nouveau l’artillerie lourde.
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On n’est pas sérieuse, quand on a quarante-sept ans. Alors que ses fans les plus acharnés déboursent jusqu’à 5000 dollars pour la voir se déhancher sur scène, puis l’étreindre en coulisses, à Las Vegas, la Vénus bling du Bronx vient de dévoiler gratuitement ses charmes sur Internet.
A la manière d’une Kim, reine du selfie dénudée, Jennifer, séparée de son toyboy Casper Smart depuis peu, s’est ainsi photographiée assise de profil sur son lit, cambrée à l’extrême, jambes repliées sous son fessier et juste-au-corps noir ultra-échancré. Posté ce 3 novembre sur son compte Instagram, à la vue de quelques 52 millions d’abonnés, le très sexy selfie est accompagné des hashtags #loveyourselffirst (« aime-toi d’abord »), #feelingempowered (« gain de confiance »), #healthybodyhealthymind (« corps sain, esprit sain »), censés dégoupiller les accusations de racolage.
En décembre 2014, l’épouse de Kanye West avait « brisé internet » avec la diffusion d’un cliché d’elle, nue et huilée, réalisé par Jean-Paul Goude pour le magazine Paper.
Avec son selfie, Jennifer a, elle, déjà enregistré plus d’un million de likes et les parodies sont déjà légion sur internet.
La guerre des fesses ne fait que commencer…
Crédits photos Bestimage / Getty