En 2015, les pays signataires de l’accord de Paris s’engageaient à limiter la hausse des températures. L’objectif affiché ? Tout faire pour que d’ici 2100, le mercure n’excède pas 1,5°C au-dessus de ce que connaissait la planète à l’ère préindustrielle. Or, les vagues de chaleur observées en 2023 partout dans le monde, sur la terre ferme comme sur les océans, envoient un inquiétant message.
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