“Pour moi, en tant qu’historien, il s’agit d’une simple reconnaissance d’une réalité”, déclare, vendredi 1er novembre, sur franceinfo Gilles Manceron, historien spécialiste de l’Algérie et du colonialisme français, en réaction au fait qu’Emmanuel Macron a reconnu que le dirigeant du Front de libération nationale (FLN), Larbi Ben M’hidi, avait été “assassiné par des militaires français”.
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