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Première étude médico-économique sur les méfaits de l’ostéoporose

Première étude médico-économique dansla population de femmes ménopauséesostéoporotiques française, l’étudeEMERAUD (pour Etude Medico-Economique sur la fRActurevertébrale Diagnostiquée En rhumatologie) permettrade prendre conscience de la fréquence, de la gravitéet du coût des fractures vertébrales chez les femmesménopausées.
Réalisée par la SociétéFrançaise de Rhumatologie et les laboratoires Lilly, cetteenquête pourrait demain déboucher sur une meilleureprise en compte et prise en charge des fracturesvertébrales. Ce phénomène constitue, en termede fréquence, la première expérience defractures vécues par les femmes ménopauséesostéoporotiques, mais sont peu diagnostiquées. Lesvertèbres sont les premières victimes de la baisse dela densité osseuse, et représente 44 % des fracturesostéoporotiques. Invalidante, la déformationprogressive de la colonne vertébrale est responsable dedouleurs chroniques, d’une perte de taille, dedéformations de la cage thoracique avec insuffisancerespiratoire, d’une protusion du ventre avec troublesdigestifs… Toutes ces conséquences diminuent laqualité de vie des patientes, dégradent l’imagecorporelle et sont à l’origine d’unretentissement psychologique important. Il apparaît doncimportant de prévenir et de diagnostiquer précocementles fractures vertébrales compte tenu de leursconséquences à court, moyen et long terme.
Dans le cadre de l’étude EMERAUDE, 920 femmesostéoporotiques âgées de plus de 65 ans ayantune rachialgie dorsale ou lombaire seront recrutées par leurrhumatologue. La lecture des radiographies du rachis de ces femmessera centralisée. Par ailleurs, le recueil des informationssera poursuivi pendant 6 mois par 230 rhumatologues répartissur l’ensemble du territoire. Chaque patiente sera vueà trois reprises au cours de cette étude.Après un bilan radiologique initial, les consommations deressources médicales seront ensuite évaluéespendant la durée de l’étude : hospitalisations,examens complémentaires réalisés, soinsparamédicaux apportés, traitementsutilisés…
En France, 1,5 million de femmes souffrent actuellement defractures vertébrales. Le vieillissement de la populationdevrait malheureusement faire empirer la situation,d’où l’importance du suivi médical.
Source : Communiqué de presse deslaboratoires LillyClick Here: cheap Cowboys jersey

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