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Blake Lively: « enfant, je prétendais être française »

Des plateaux de Gossip Girl aux publicités Chanel, est une fashionista et une comédienne de talent. Entre deux séances shopping et trois tournages, la petite amie de a pris le temps de répondre à l’interview vérité de notre correspondant aux Etats-Unis. Découvrez les petites confidences de la belle.

Gala: A votre avis, que pensent de vous les Français?

Blake Lively: Je pense qu’ils ont une bonne opinion de moi car ils sont toujours très chaleureux. Je viens le plus souvent possible à Paris où vivent mes amis stylistes et où je me sens vraiment chez moi. Mon dernier séjour, notamment dans le Sud de la France, à l’Institut de français, m’a permis de mieux comprendre la culture française.

Gala: Quel est votre secret pour éviter les paparazzi?

B. L.: Les attraper tous avec une épuisette et les abandonner sur une île déserte ! Franchement, je serais prête à tout pour les faire disparaître. Le monde se porterait mieux sans eux.

Gala: Avec qui aimeriez-vous rester coincée dans un ascenseur?

B. L.: Avec

. C’est un véritable magicien, il me fait rêver chaque jour. Il sait tout faire, c’est un génie dans tous les domaines. J’ai une telle admiration pour cet homme que rester coincée avec lui serait pour moi un véritable cadeau.

Gala: Votre vêtement préféré?

B. L.: Mon Dieu, c’est à moi que vous me demandez ça! Je vis uniquement pour les vêtements! Mais mon accessoire préféré reste les chaussures. J’ai plus de trois cents paires et j’ai dû louer un espace pour les stocker car je n’ai plus assez de place dans mon appartement…

Gala: A quelle gourmandise ne pouvez-vous pas résister?

B. L.: Les macarons! C’est malheureusement devenu une obsession. Ceux de Ladurée sont absolument délicieux, une vraie merveille. Je regrette qu’ils n’aient pas ouvert de boutique à Los Angeles ou à New York. Je pourrais me nourrir exclusivement de leurs macarons.

Gala: Etes-vous avare?

B. L.: Non, je n’hésite pas à acheter de belles choses pour moi et pour les autres. Il m’arrive de dépenser une vraie fortune pour une robe ou une paire de chaussures. Quelqu’un d’avare n’ouvre certainement pas son porte-monnaie aussi facilement que moi.

Gala: Votre plus grosse honte?

B. L.: Lorsque je me promenais dans les rues de Villefranche-sur-Mer (où se trouve l’Institut de français, ndlr) avec une baguette sous le bras. Je tenais absolument à ressembler à une Française. Je m’arrêtais dans tous les commerces du village pour parler français, avec le boulanger, l’épicier… Les gens ont dû me prendre pour une folle!

Gala: Votre plus gros mensonge?

B. L.: Enfant, déjà, je prétendais être Française. Je ne parlais pas un mot de français, mais je mentais à toutes mes amies en leur faisant croire que j’étais Parisienne. Heureusement, elles étaient assez naïves pour me croire sans me demander de parler français.

Gala: Quel a été votre premier boulot?

B. L.: Cela va peut-être vous paraître étonnant, mais le métier d’actrice est mon premier boulot. J’ai commencé il y a six ans à peine. Je n’aurais jamais cru pouvoir devenir comédienne, mais aujourd’hui, je ne peux plus m’en passer et j’espère que ce sera mon premier et mon dernier métier.

Gala: Selon vous, quelle est votre principale qualité?

B. L.: Je suis optimiste de nature et très persévérante. J’essaie toujours de garder espoir et, comme ma mère, d’apporter un peu de chaleur humaine. J’ai hérité de son caractère et j’en suis vraiment très fière.

Gala: Votre principal défaut?

B. L.: Je manque de patience. Quand je veux quelque chose, il me le faut immédiatement. Je peux passer des heures devant mon ordinateur à essayer de commander des produits sur Internet et si cela ne marche pas je m’énerve extrêmement vite. Je dois faire très attention et j’essaye vraiment de changer.

Gala: Avez-vous un remède contre le stress?

B. L.: Le shopping ! Aucune pression n’y résiste. Je suis dans une sorte de bulle et plus rien ne peut vraiment me toucher. C’est incroyable à quel point faire les magasins me rend heureuse.

Gala: Qu’est-ce qui peut vous empêcher de dormir?

B. L.: Le fait d’avoir trouvé des chaussures dont je raffole mais qui ne sont pas disponibles dans ma pointure. Je ne peux pas fermer l’œil de la nuit.

Gala: Quel est votre plus grand combat?

B. L.: L’espoir de devenir un jour une femme aussi remarquable que ma mère. Ma maman a grandi dans une ferme à Tallapoosa, dans l’Etat de Géorgie. C’est incroyable d’avoir réussi à venir vivre à Los Angeles et de m’avoir permis de faire le métier d’actrice. Normalement, il faut plusieurs générations pour réaliser ce parcours. J’espère donc lui ressembler et réussir à être à sa hauteur.

Propos recueillis par Hervé Tropéa

Publié dans Gala, juillet 2011

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